A ce jour, la position de la Capeb, validée par le Conseil d’administration confédéral, reste dictée par le principe : PAS DE SECURITE = PAS DE CHANTIER !

Ainsi, pour la Capeb :

  • la reprise d’activité ne doit concerner, dans un premier temps, que les seuls travaux d’urgence et de dépannage. Après retour du terrain sur les difficultés de mise en œuvre du guide, et en fonction de l’évolution de l’épidémie, il pourra être envisagé une généralisation à tous les types de travaux ;
  • dans tous les cas, les entreprises, qui ne pourront pas mettre en œuvre les mesures de sécurité préconisées dans ce guide, ne doivent pas reprendre le travail. Chaque entreprise devra donc évaluer, chantier par chantier, si elle peut ou non mettre en œuvre ces préconisations.