Cette plateforme en ligne – imaginée et conçue par cinq partenaires institutionnels aux profils et compétences complémentaires – est destinée aux professionnels du bâtiment (maîtres d’oeuvres, architectes, bureaux d’études, artisans, prescripteurs, techniciens, experts, chercheurs…) et, plus globalement, à tous les porteurs de projets de réhabilitation d’un bâti ancien.

www.rehabilitation-bati-ancien.fr

Le portail CREBA met à disposition plusieurs outils et ressources pour aider à adopter une approche globale et responsable de la réhabilitation énergétique du bâti ancien :
– un outil innovant d’aide à la décision permettant de tester et comparer différentes solutions de réhabilitations, d’en repérer les points de vigilance et de composer des bouquets de travaux responsables ;
– des fiches-résumés de ressources centralisées (études et ouvrages publiés au niveau local et national) qui traitent de la réhabilitation énergétique du bâti ancien ;
– des études de cas de réhabilitations responsables qui concilient préservation du patrimoine ET amélioration énergétique ;
– une proposition de charte explicitant les critères d’une opération de réhabilitation dite « responsable » sur un bâti ancien au sens patrimonial, technique et énergétique.

Pourquoi ce centre de ressources ?

Alors que les exigences d’amélioration thermique des bâtiments existants sont renforcées par la Loi de transition énergétique pour la croissance verte (LTECV), les partenaires du projet estiment plus que jamais nécessaire de favoriser la qualité globale des réhabilitations et pour cela de :
– se fédérer et faire travailler ensemble des corps de métiers aux méthodes différentes ;
– structurer et centraliser les ressources et connaissances relatives à la réhabilitation du bâti ancien ;
– diffuser et partager les bonnes pratiques ;
– proposer des outils favorisant une approche globale de cette problématique.

Les enjeux sont autant d’améliorer la performance énergétique et environnementale des bâtiments anciens que de respecter et préserver leurs valeurs architecturales et patrimoniales et de prendre en compte leurs spécificités techniques afin d’éviter les pathologies et d’assurer la durabilité de ce patrimoine.